Evincé par le concombre espagnol un certain temps, voila DSK à nouveau sur le plateau repas !
Lors de la dernière audience DSK a été accueilli par un flot impressionnant de femmes de ménage en colère qui scandaient « honte à vous », il est apparu très digne au bras de sa charmante épouse (je ne sais pas si je dois être admirative de l’attitude de Anne Sinclair ou choquée, mais ça c’est une autre histoire peut-être, pas si sure) !
Depuis le début de cette désobligeante affaire pour la France entière, les langues se délient…
Des femmes se mettent à dénoncer des actes dont elles ont été victimes de la part de supérieurs hiérarchiques, d’hommes politiques ou de personnages importants.
En tant que femme je suis fort étonnée de cette vague de réactions tardives, mais plus encore de l’action de ces hommes connus et reconnus !
Pour revenir à DSK, des mauvaises langues disent qu’il aurait eu la visite d’une femme à 1 heure trente du matin et qu’elle serait repartie de la chambre de DSK environ 2 heures plus tard… il a la forme !
Nous savons tous qu’il s’agit certainement d’une manucure qui s’est déplacée en pleine nuit, il n’y a rien de plus énervant que d’avoir un ongle cassé !
Tout plaisanterie de mauvais goût mise à part, une question me vient à l’esprit !
Est-ce que ces hommes de pouvoir ont besoin de posséder des femmes en faisant usage de leur force ou de leur argent pour éprouver du plaisir ?
Est-ce la dernière tendance dans les hautes sphères ?
Ou peut-être simplement le plaisir d’humilier les femmes ?
Est-ce qu’il y a des femmes qui aiment cela ?
Il est vrai que certaines femmes sont prêtes à tout et même au pire, pour gravir les échelons sociaux !
Comment expliquer toutes ces dérives ?
L’argent ? La politique ? Les deux ? La folie ?
En tous les cas dans mon petit village de campagne bien tranquille, je me dis qu’un homme qui dépense sans compter des milliers d’euros pour assurer sa défense, son logement, son standing dans une situation pareille n’était peut-être pas le meilleur candidat pour se soucier de mes problèmes de fin de mois, de mes conditions de travail ou de mon inquiétude pour le devenir de nos retraites…