Je ne travaille pas dans une gare maritime, routière ou ferroviaire, mais les départs continuent !

Le hasard est toujours bizarre, c’est l’achat de bâtons d’encens parfumés à l’opium qui a suscité  ce cadeau d’adieu !
Je ne savais pas que c’était un cadeau d’adieu, juste un cadeau !
Je l’ai récupéré  par mail, enregistré.
La voix est grave, c’est un choeur d’hommes qui la chante, ça  vous donne la chaire de poule

Il m’a dit : « Tu l’écouteras un soir en buvant un verre de cognac devant ta cheminée en pensant à moi ! »

J’ai cherché et trouvé les paroles, ensuite j’ai trouvé une version différente enregistrée par Jacques Dutronc et Bambou…

Ce soir je l’offre à « Pierrot la Fleur », je l’appelais gentiment comme cela avant qu’il devienne mon chef !

Jacques Dutronc avec Bambou
OPIUM
Paroles: Charlys, Guy D’Abzac, musique: Charlys, 1987

Dans le port de Saïgon
Il est une jonque chinoise
Mystérieuse et sournoise
Dont nul ne connaît le nom.
Et le soir dans l’entrepont,
Quand la nuit se fait complice,
Les Européens se glissent
Cherchant des coussins profonds.

Refrain:
Opium, poison de rêve
Fumée qui monte au ciel,
C’est toi qui nous élève
Au paradis artificiel.
Je vois le doux visage
Les yeux de mon aimée.
Parfois j’ai son image
Dans un nuage de fumée.

2. Et le soir au port falot
Les lanternes qui se voilent
Semblent de petites étoiles
Qui scintillent tour à tour.
Et parfois dans leur extase,
Au gré de la fumée grise,
Le fumeur se représente
Ses plus beaux rêves d’amour.

Refrain

3. Puisqu’on dit que le bonheur
N’existe pas sur la terre
Puisse l’aile de nos chimères,
Un jour nous porter ailleurs
Au paradis enchanteur
Plein de merveilleux mensonges
Où dans l’ivresse de mes songes
J’ai laissé prendre mon coeur.

Refrain

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Découvrez Jacques Dutronc!

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